La Coupe du monde féminine de football est une compétition organisée par la FIFA et qui réunit un nombre record de trente-deux pays. Ce sera la neuvième édition et son développement se reflète dans la figure du ballon appelé Oceaunz.

Oceaunz (basé sur les noms de l’Océanie, de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande), de la marque Adidas, est une balle inspirée de la nature, à la pointe de la technologie et à des fins caritatives. C’est un ballon fabriqué en relation avec l’évolution du football. Selon les rapports techniques de la FIFA relatifs aux deux dernières Coupes du monde féminines, la vitesse de jeu a augmenté de 11 % tandis que la distance moyenne par joueuse a augmenté de 15 %.

Ses principales caractéristiques sont la présence du CTR-Core, un noyau innovant à l’intérieur du ballon conçu pour améliorer la précision et la régularité; le Speedshell, une nouvelle forme de textures qui améliore l’aérodynamisme; et la technologie d’un système de suspension au centre du ballon qui permettra l’envoi d’informations aux arbitres en temps réel. Cette technologie est similaire à celle que les hommes avaient au Qatar l’année dernière. La balle peut mesurer la vitesse, force de frappe, capteur de mouvement. Elle a été créée de l’intérieur vers l’extérieur pour que les joueuses ne le remarquent pas.

Les artistes Chern’ee Sutton et Fiona Collis ont été chargées de la réaliser sous la protection de la diversité, de l’inclusion et de l’unité . L’Oceaunz combine des lignes noires et bleues sur une base blanche rendant hommage aux côtes et aux lacs des pays hôtes (Australie et Nouvelle-Zélande), tandis que des détails jaunes reflètent le sable sur les plages et des graphiques supplémentaires font honneur à l’art aborigène.